Isabelle : La Grosse Veuve Catho Se Prend Une Grosse Queue. (2Ème Partie Et Fin)

La relation sexuelle d’Isabelle et d’Hassan prit fin, lorsqu’un mercredi après-midi le jour de sa visite, elle entra dans sa chambre et s’aperçu que l’homme qui s’y trouvait n’était pas son papy tunisien. Il était décédé le dimanche et personne ne l’avait prévenue. Elle était triste et en colère de ne pas lui avoir fait ses adieux. Elle savait qu’il vivait ses dernières heures et se réconforta en se disant qu’elle lui aura donné du plaisir presque jusqu’à son dernier souffle.

Elle regrettait simplement de ne jamais avoir accepté plus tôt de s’offrir à lui et à sa verge, c’était prévu pour aujourd’hui mais elle n’avait pas eu l’occasion de profiter de sa queue. Elle en était désolée, car elle y en avait pensé toute la semaine après lui avoir promis mercredi dernier. Elle s’était même entrainée avec un sextoy de 21 cm commandé sur internet. Elle allait être dans l’obligation de vivre avec ce jouet à proximité de son lit lorsque le désir s’en ferait sentir. Depuis qu’elle connut Hassan, ses pulsions sexuelles devenaient de plus en plus rapprochées. D’une fois tous les quinze jours, dorénavant ses besoins étaient passés à tous les deux jours, elle se demandait comment elle allait gérer le problème ?

Ce jour-là en entrant dans la chambre d’Ahmed, un marocain, elle fit la connaissance de son épouse. Isabelle disait qu’elle ne pouvait lui être d’aucune utilité dans la mesure où il était sourd et aveugle, elle était désolée, mais elle ne pouvait être d’un grand secours pour lui. Inaya lui expliqua son vrai problème en lui montrant du doigt discrètement son entrejambe. En effet, couché dans son lit, avec seul protection un drap blanc, au niveau du pubis, la toile fine se relevait en chapiteau, son mat de chair se dressait à une hauteur impressionnante :

« — Chaque fois que Martine était dans ce service en fin de matinée, au moment du lavage des résidents, elle adorait venir s’occuper d’Ahmed personnellement, pourtant autonome lors de sa toilette, une fois que l’aide-soignante l’avait placé sur la chaise sous la douche.

Elle aimait tenir dans sa main l’énorme bite qu’il avait. Jamais de sa vie, elle avait vu un engin pareil et le fait de prendre son temps pour le savonner, de le rincer sans jamais utiliser de gant de toilette, uniquement avec ses mains douces lui malaxant son pénis et ses testicules, elle prenait son plaisir de voir au fur et à mesure de ses attouchements grossir ce fabuleux phallus qui se mettait en érection dans ses mains délicates.

Jamais elle n’avait osé le finir afin de ne pas être obligée de recommencer le lavage, car son temps était compté. Bien souvent, elle sortait de la douche et se masturbait pendant qu’Ahmed finissait lui-même son lavage puis l’emmenait se rassoir sur son fauteuil. Après ce nettoyage intime, dans cet état d’érection, il était dans l’obligation d’attendre son épouse afin de le branler.  Inaya profita de ce moment pour retirer le drap et montrer la verge tendue de son mari.

Isabelle ouvrit les yeux en grand, elle ne s’était jamais imaginée un seul instant qu’un homme pouvait avoir une bite aussi grosse et aussi grande, elle regarda en deux fois et s’approcha, elle avait presqu’envie de toucher afin de vérifier si ce n’était pas un canular.
— Mais qu’attendez-vous de moi ?
— De me remplacer, s’il vous plait, je n’en peux plus...
En bonne catholique ouverte d’esprit, Isabelle connaissait le Coran pour l’avoir lu à Hassan aussi longtemps. Elle dit à Inaya :
— Mais suivant le Coran, le texte sacré parle de désir et de plaisir
— Absolument ! Le désir et le plaisir sont reconnus par l’islam qui les situent dans le cadre d’un contrat conjugal.
— Oui ! L’homme et la femme sont égaux dans l’intimité. Le Prophète a dit à l’homme : « Ton corps a un droit sur toi et ton épouse a un droit sur toi. »

— Le Coran défend une sexualité égalitaire d’échanges réciproques. Cependant on peut lire « Vos femmes sont pour vous comme un champ de labours. Allez à vos champs comme vous l’entendez.
 
— Cette phrase est une traduction littérale qui fausse le sens spirituel auquel elle se réfère dans le texte coranique. Le mot « harth » a été traduit par des hommes comme « champ de labours », ce qui est une traduction restrictive. Nous pourrions lire : « Vos femmes sont pour vous la source de la vie et de la richesse. Allez donc à cette source librement ».

— Il y a néanmoins des interdits sexuels dans l’islam : pas de rapport anal, ni de sexualité pendant les règles ou après l’accouchement.
— Il y a en effet deux interdits dans l’islam : pas de pénétration anale et pas de pénétration vaginale lors des saignements qu’ils soient liés aux menstruations ou aux suites de l’accouchement. Il faut savoir que par ailleurs la pénétration anale n’est pas interdite dans l’islam chiite mais l’est dans le sunnisme.
— Pourtant la misère sexuelle est grande dans les couples musulmans de France.

« — Il y a en effet une grande misère sexuelle qui s’explique par 14 siècles d’interprétations coraniques faites par des hommes qui ont bridé et contrôlé la sexualité des hommes et des femmes plus sévèrement. Parler de sexualité, c’est « hchouma », poser des questions sur le sexe ou sur la façon dont les bébés sont conçus, c’est « hchouma », tout comme les postures pour une femme. Cette condamnation de tout comportement non conforme pèse encore plus que la religion sur le bien être sexuel des musulmans.

La « hchouma » est une injonction pétrifiante constamment utilisée pour brimer la sexualité des musulmans et en particulier celle des femmes. Mais elle n’a aucun fondement religieux ; elle appartient à la culture orale arabe. » (Extraits tirés de « La sexualité dévoilée », par la sexologue Nadia El Bouga)
— Vous ne pouvez donc pas me demander de prendre votre place.
— Je vous passe mon voile, il est aveugle, il vous sentira avec ses mains et ne s’apercevra de rien.

Isabelle venait d’avoir la réponse à la question qu’elle se posait quelques minutes auparavant, non seulement elle aiderait deux personnes en même temps et se ferait plaisir en avalant cette énorme bite bien plus grosse que son jouet.
Pourquoi ne pas tenter l’expérience ? Se demandait-elle.

Pour sa première visite, elle se pencha sur cette verge tendue vers le ciel, elle fit un signe de croix et vint poser sa main sur cette hampe dure comme de la pierre. Ayant l’habitude de le faire à Hassan, elle commença ses attouchements et très vite Ahmed se cambra râla et éjacula une quantité impressionnante de sperme, plus de deux fois que son amant lui laissait sur sa main. Inaya s’empressa de nettoyer et remercia Isabelle en lui demandant :
— Vous pourriez être présente le samedi vers 16 heures c’est le jour du coït et c’est très important pour lui.

Isabelle réfléchit quelques instants, elle ne pouvait pas se passer de cette occasion, il lui fallait cette queue, elle voulait qu’elle lui pénètre les entrailles, elle n’hésitait plus et répondit : « Je serai là, ne vous inquiétez pas. Que le seigneur soit avec vous ». Inaya répondit : « Allah est grand. »

Ahmed avait tenu à remercier sa bienfaitrice, il se releva et mis ses mains sur les hanches et les fesses de sa bienfaitrice en disant : « Merci mon amour. Inaya ! Tu as été géniale. » cet homme, malgré sa cécité et sa surdité n’était pas né de la dernière pluie, il avait toute sa tête et son sens du toucher était devenu plus développé, il comprit dès les premiers attouchements que ce n’était pas sa femme qui le masturbait et en touchant son fessier beaucoup plus ferme que celui de son épouse.

Il ne savait pas comment et par quel stratagème son Inaya, s’était faite remplacée mais il s’en moquait royalement à présent. Il en voulait beaucoup plus et espérait maintenant que cette délicieuse femme qui venait de lui faire prendre du plaisir reviendra pour le coït du samedi. Il le demanda à son épouse en arabe afin qu’Isabelle ne puisse pas comprendre. Inaya lui répondit dans l’affirmative et ne dit rien à sa remplaçante.

En femme curieuse, Isabelle arriva beaucoup plus tôt ce samedi, elle tenait à assister à la prière.
Elle fut surprise d’entendre dire Inaya qu’elle n’était plus obligée de porter le voile, que son mari savait tout et qu’il était encore plus heureux de baiser une européenne, c’était un fantasme qu’il avait depuis son plus jeune âge. Ce petit événement l’excita encore plus car elle s’apercevait qu’elle plaisait à ces hommes du Maghreb et en fut très fière.

Ahmed s’était relevé après sa prière et Inaya rangea le tapis sajada kilim, pendant qu’Isabelle se présentait devant lui sans aucune pudeur avec sa robe bleue moulante en jersey sans manche avec un large décolleté et fendu dévoilant ses grosses cuisses, retroussé sur ses reins. Ahmed lui passa les mains partout, il explora dans les moindres détails ses formes si particulières de femme très fortes. Après s’être dévêtue en gardant uniquement sa culotte, elle vint près de lui, Ahmed passa debout derrière elle et se colla à elle en lui caressant son ventre et ses bourrelets, puis ses deux grosses mamelles pendantes (100 E), en lui prenant les tétons, elle ressenti son sexe qui grossissait juste au niveau de la raie des fesses.

Ahmed se baissa légèrement et l’embrassa dans le cou, ce qui électrisa sa partenaire. Isabelle mouillait de désir, elle ne s’était pas trompée, elle allait vivre une expérience hors du commun. Lorsqu’il voulut lui retirer sa culotte en dentelle, il eut l’impression qu’elle sortait de la machine à laver sans essorage, elle était littéralement trempée, elle dégoulinait. Elle se moqua de la religion et s’agenouilla devant cet Éros et mis 15 cm dans sa bouche et lui fit une fellation digne de ce nom, il bandait comme un âne, sa queue semblait plus énorme que la fois dernière. Ils s’allongèrent sur le lit, Ahmed sur son côté droit pressait amoureusement Isabelle contre lui.

Les grosses fesses flasques de la quinquagénaire étaient plaquées contre son sexe. Ils sentirent l’excitation monter et s’embrassèrent en mêlant leurs langues un long moment. Il caressa délicatement la fente d’un doigt, puis deux, puis trois. Et là quel bonheur pour elle ! Il avait touché la corde sensible, trop sensible. Il l'entendit gémir puis jouir, elle cria véritablement et éjecta une grosse éjaculation féminine qu’il n’avait jamais vu.

Il en profita pour introduire sa longue queue durcie et la pénétra doucement, ce qui arracha un soupir à sa compagne qui ondulait en-dessous de lui. Elle gémit encore, transportée par le bonheur que sa verge lui apportait, il la pressa contre lui plus fort. Aussitôt avec un cri perçant, elle s’arc-bouta de nouveau en enfonçant ses ongles dans sa cuisse. Elle mouilla le bas-ventre du septuagénaire qui, en râlant, libéra un flot de semence dans ses entrailles, son visage enfoui dans les cheveux de sa bienfaitrice.

Pendant tout ce temps, Inaya resta immobile assise sur le fauteuil en lisant son livre qu’elle avait apporté, elle avait relevé les yeux à chaque fois qu’Isabelle criait son plaisir mais elle était toutefois contente que son époux chéri ait pu prendre son pied avec cette femme qui ne lui semblait pas être une concurrente. Elle s’occupa du nettoyage et du changement des draps pendant que l’européenne était dans la salle de bain pour se laver et s’habiller. Ils se s’étaient quittés en se disant simplement : Merci à mercredi.

Si comme Julie vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.

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